Nous voilà repartis dans le grand manège des rumeurs Xbox ! Alors que la direction affirmait encore récemment sa volonté de produire une nouvelle console, voici qu’émergent des indiscretions troublantes sur l’avenir du constructeur américain. Microsoft envisagerait-il sérieusement d’abandonner le hardware pour se transformer en simple éditeur ? Les signaux ne trompent pas, et ils sont aussi inquiétants qu’un troupeau de chèvres dans un magasin de porcelaine.
Des licenciements massifs annoncent la couleur
L’insider SneakersSO, source reconnue pour ses révélations passées concernant la stratégie multiplateforme d’Xbox, balance une information qui fait froid dans le dos. Une nouvelle vague de licenciements massivement proportionnée devrait déferler sur la division Xbox au premier trimestre 2026. Cette annonce ressemble étrangement aux méthodes qu’affectionne un certain milliardaire pour « optimiser » ses acquisitions.
Tom Warren de The Verge a d’ailleurs validé la crédibilité de cette source, précisant qu’elle « en sait beaucoup sur les rouages internes » de Microsoft. Nous assistons donc probablement aux prémices d’une restructuration majeure, où Xbox risque gros : les studios craignent licenciements et fermetures devient une réalité tangible plutôt qu’une simple crainte.
Les conséquences du pari raté Call of Duty sur le Game Pass commencent enfin à être évaluées correctement par la direction. Visiblement, intégrer un blockbuster à 70 euros dans un service d’abonnement n’était pas le coup de génie espéré. Qui l’eût cru ?
La stratégie hardware remise en question
Voici le point le plus surprenant de ces révélations : les plans jadis solides concernant la prochaine génération Xbox seraient désormais « en l’air ». Une console qui devait sortir relativement prochainement voit soudainement son développement stagner. Les étapes nécessaires au lancement d’une nouvelle génération ne sont tout simplement plus franchies.
Cette situation rappelle ces projets gouvernementaux qui changent de cap à chaque remaniement ministériel. Microsoft semble appliquer la même logique d’instabilité stratégique à sa division gaming. Plusieurs éléments considérés comme « certains » ont commencé à être reportés sine die.
| Signaux d’alarme | Impact sur Xbox |
|---|---|
| Retrait de Costco | Perte de visibilité retail |
| Reports de développement | Incertitude hardware |
| Augmentation Game Pass | Mécontentement utilisateurs |
Le fait que Costco retire les consoles Xbox de ses rayons constitue un indicateur particulièrement révélateur. D’autres détaillants suivraient cette tendance, créant un effet domino préoccupant pour la visibilité du hardware Xbox.
L’avenir selon les rumeurs : publisher avant tout
Les indiscretions dessinent un scénario radical pour Xbox : devenir purement éditeur logiciel. Fini les consoles, place aux licences rentables ! Microsoft se concentrerait sur ses propriétés intellectuelles les plus lucratives :
- Call of Duty et son écosystème FPS
- Minecraft et sa communauté planétaire
- World of Warcraft et son univers persistant
- Candy Crush et le marché mobile
- Forza Horizon pour les amateurs de vitesse
Cette stratégie s’accompagnerait d’une transformation du Game Pass en simple passerelle vers xCloud. Le service d’abonnement deviendrait essentiellement un accès au cloud gaming, justifiant ainsi de futures augmentations tarifaires. Nous pressentons déjà que Microsoft n’a pas terminé de faire grimper les prix.
Le cloud gaming prendrait le relais comme plateforme Xbox officielle, permettant de diffuser les titres sur n’importe quel appareil disposant d’un marketplace et d’utilisateurs prêts à débourser. Une approche qui fleure bon l’ubérisation du gaming, où l’important n’est plus de posséder l’infrastructure mais de contrôler le contenu.
Quelques constructeurs tiers pourraient éventuellement adopter le nom Xbox, mais compte tenu de l’érosion de popularité du brand, cette hypothèse semble aussi probable qu’un troupeau de chèvres apprenant le calcul intégral. La confiance des consommateurs s’effrite, et aucun OEM sensé ne souhaiterait s’associer à une marque en perdition.



