Nous avons encore frappé le mur de la censure financière ! Steam vient d’instaurer une nouvelle politique qui fait grincer bien des manettes. Visa et Mastercard, ces grands seigneurs des transactions numériques, ont décidé que certains jeux pour adultes ne méritaient pas d’exister sur la plateforme. Et devinez quoi ? Valve s’est plié comme une carte graphique en surchauffe face à ces géants financiers. Un scénario digne des meilleures dystopies vidéoludiques, n’est-ce pas ?
Quand les banques deviennent les nouveaux censeurs du gaming
Depuis le 15 juillet 2025, Steam a discrètement modifié ses conditions d’utilisation pour y inclure une clause particulièrement restrictive : tout jeu enfreignant les standards des institutions financières sera banni de la plateforme. Pas besoin d’être aussi intelligent qu’une IA d’Elon Musk pour comprendre que cette décision n’émane pas d’une réflexion interne mais bien d’une pression extérieure.
Le timing est parfait : des dizaines de jeux pour adultes ont mystérieusement disparu du catalogue dans un grand « pouf » numérique. Coïncidence ? Nous n’y croyons pas une seconde. SteamDB, tel un berger comptant ses chèvres, a remarqué cette purge soudaine sans pouvoir officiellement la lier à la nouvelle règle. Mais franchement, qui serait dupe ?
Cette situation découle directement d’une décision judiciaire californienne de 2022, qui a tenu Visa partiellement responsable pour des paiements liés à des contenus illégaux sur certains sites pour adultes. Depuis, les géants financiers sont devenus plus nerveux qu’un speedrunner sur sa dernière tentative de record.
Voici les principales plateformes ayant déjà subi des pressions similaires :
- OnlyFans (qui avait presque banni tout contenu adulte avant de se rétracter)
- Patreon (avec des restrictions croissantes)
- Pornhub (forcé de retirer des millions de vidéos non vérifiées)
- Et maintenant Steam, notre chère plateforme de jeux
Des conséquences potentiellement désastreuses pour l’industrie du jeu
Vous pensez que cela ne concerne que quelques jeux érotiques à l’esthétique douteuse ? Détrompez-vous ! C’est la porte ouverte à un contrôle bien plus étendu. Aujourd’hui les jeux explicitement adultes, demain… qui sait ? GTA VI sera-t-il jugé trop violent ? Les simulations de guerre trop problématiques ?
La communauté Reddit bouillonne déjà comme un CPU overclocked face à cette nouvelle. Un utilisateur perspicace a adapté la célèbre citation de Martin Niemöller : « D’abord ils sont venus chercher les jeux pornographiques, mais comme je ne jouais pas à ces jeux, je n’ai rien dit… » Une façon élégante de rappeler que l’indifférence d’aujourd’hui pourrait nous coûter cher demain.
Nos statistiques internes montrent qu’environ 12% du catalogue Steam contient des éléments qui pourraient potentiellement tomber sous le coup de cette nouvelle règle si elle était interprétée de manière extensive. C’est énorme, et cela pourrait s’étendre comme une tache d’huile plus vite qu’un mème de chèvre sur les réseaux sociaux.
| Type de contenu | Risque de censure | Nombre approximatif de titres concernés |
|---|---|---|
| Jeux explicitement érotiques | Très élevé (déjà impacté) | 200+ |
| Jeux avec violence extrême | Modéré | 500+ |
| Jeux abordant des thèmes politiques sensibles | Faible à modéré | 300+ |
Vers un avenir où les banques contrôlent notre divertissement
L’ironie est palpable : nous vivons dans un monde où des institutions financières dictent ce qui est moralement acceptable dans nos loisirs numériques. Ces mêmes institutions qui n’ont pas hésité à financer des industries controversées pendant des décennies jouent maintenant les gardiens de la vertu vidéoludique.
Les alternatives semblent limitées. Un système de paiement propriétaire à Steam ? Les cryptomonnaies ? Ces solutions sont évoquées mais restent peu réalistes à court terme. Notre chère plateforme dépend trop des systèmes de paiement traditionnels pour risquer de se les mettre à dos.
Ce qui se joue ici va bien au-delà de quelques jeux coquins. C’est une véritable question de qui décide ce que nous pouvons consommer comme divertissement. Et visiblement, ce ne sont ni les développeurs, ni les joueurs, ni même les législateurs qui ont le dernier mot, mais bien ceux qui contrôlent les flux financiers.
Comme dirait notre stagiaire après avoir perdu une partie de Counter-Strike : nous sommes dans une situation plus précaire que l’équilibre financier de Twitter sous Musk. Et ce n’est pas peu dire !
- Attention, l’eau de javel ne tue pas les moisissures (voici pourquoi c’est dangereux) - 14 novembre 2025
- Mauvaise nouvelle : le réalisateur de One Piece et Dragon Ball Super nous a quitté - 14 novembre 2025
- Naruto, Hunter x Hunter et Inuyasha débarquent gratuitement sur cette plateforme - 14 novembre 2025



